• Être une femme entrepreneur(e) aujourd’hui pour vous, qu'est ce que c'est ? 
    Etre entrepreneur pour moi c'est oser, partager, sortir de sa zone de confort, savoir s'entourer, rester curieuse et humble. Il faut accepter l'incertitude. J'attache aussi beaucoup d'importance au fait de me ménager des parenthèses, sans culpabiliser, avec ceux que j'aime, faire du sport, voyager, découvrir... c'est une pratique vertueuse. Un entrepreneur épuisé epuise ses équipes !
  • A quels défis avez-vous du vous confronter en tant que femme dirigeante dans un secteur essentiellement masculin  ?
    Tous les dirigeants jonglent avec les défis. Je n'ai jamais ressenti de difficultés particulières en tant que femme dans l'industrie ou le retail. Je travaille avec des équipes et des partenaires formidables dans des métiers passionnants. Nous partageons une vision et des valeurs communes, alors je ne me pose pas ce type de question.

     
  • D’après vous, comment attirer davantage de talents féminins dans le secteur de l’ameublement ?
    Nos métiers touchent à l'intimité des gens, à leur bien être. L'ameublement offre des opportunités multiples dans l'industrie, la création, la distribution. Les femmes et les hommes peuvent s'y épanouir. Il est impératif de faire connaître tous ces métiers. D'ouvrir les portes de nos entreprises en toute transparence, d'accueillir et former les jeunes notamment via l'apprentissage. Et surtout nous devons construire avec nos équipes et nos partenaires, une culture de travail ouverte, respectueuse et responsabilisante en passant de l'ère du B to B ou du B to C à celle du H to H, Human To Human.